Tania Dru

Chargée de Projets Marketing - Chez Percy Miller depuis octobre 2021

Peux-tu nous décrire ton job ?

Je suis en charge des missions de marketing digital, cela comprend l’animation et la gestion des réseaux sociaux et des sites du groupe, mais aussi le contenu éditorial, l’emailing ainsi que l’ensemble des moyens de communication avec notre cible sur l’ensemble des marques du groupe Percy Miller.

Plus particulièrement, il peut s’agir de création de posts et de la gestion de la communauté sur les réseaux sociaux, de création de campagnes d’emailing, de développement de stratégies d’acquisition, d’engagement et de fidélisation à travers des campagnes digitales, de refonte, de création et de mise à jour de documents print et digitaux (plaquettes, catalogues, flyers, affiches, cartes de visite, goodies, etc), ainsi que de la gestion de l’ensemble des sites du groupe.

Qu’est ce que tu aimes bien chez PM (dans ton travail au quotidien) ?

Ce que j’aime chez PM, c’est la grande confiance et liberté dont j’ai pu profiter dès mes premières semaines. Je peux organiser mes journées comme je le souhaite et cela me permets de couvrir de nombreux sujets sur la semaine.

On jouit aussi de beaucoup d’autonomie et de flexibilité. Malgré mon jeune âge, je me sens écoutée et valorisée, ce qui permet d’être force de proposition et donne envie de faire peuve d’initiative.

On se sent vraiment bien chez Percy Miller. Le directeur général fait tout pour le bien-être des collaborateurs et cela se ressent au quotidien. L’équilibre vie pro et perso est parfaitement respecté.

Pourquoi avoir rejoint Percy Miller ?

Percy Miller m’a offert une opportunité de travail en or à ma sortie d’étude, je ne pouvais pas refuser.

Le poste proposé correspondait complètement à mes attentes de premier emploi. Même après 5 années d’alternance, j’avais hâte de pouvoir exercer mes connaissances à temps plein.

Pourquoi le Canada et Montréal en particulier ?

J’ai des envies d’expatriation depuis le collège, au début c’était Londres mais j’ai rapidement perdu l’intérêt : trop proche, trop cher, beaucoup de pluie. Mon oncle vivant près de Montréal depuis près de 20 ans, le pays s’est alors imposé dans mon esprit. Il était devenu clair que je devais venir au Canada. À la fin de mes études, j’ai sauté sur l’occasion.

À part ma famille et mes amis, rien ne me retenais vraiment en France. Maintenant, je n’ai plus envie de repartir.